La métropole pulse et impulse à chaque ventricule sa rapide cadence. Valse de la valve, elle mène la danse, libère la transe et sous la tension qu’elle sublime, de battement en battement, elle emplit de ce fluide sonore, ses artères, ses rues voire ses impasses.
La métropole brutale, rugueuse, voluptueuse, tueuse, résonne dans mon cœur qui parfois l’écoute et parfois s’émeut de tant d’empreintes sonores laissées à l’invisible poème, voilées sous les habits froissés, les habitudes angoissées les habitants aux vertiges discrets sur l’onde arythmique du précipité.
La métropole résonne dans nos cœurs, elle chante l’éphémère indompté. ∴